Raisons de l’élagage
(du plus doux au plus sévère)
Supprimer les branches mortes . Pour ne pas qu’elles tombent sur des passants ou qu’elles abîme les infrastructure qui se trouve en dessous.
Supprimer des branches gênantes qui bloquent des passages ou des structures.
Diminuer la densité d’un arbre pour laisser passer plus de lumière.
Travailler des espèces d’arbre non naturelles. Beaucoup d’espèces d’arbre sont modifiées par l’homme. Par exemple, l’ érable est un arbre indigène qui se gère très bien lui-même. En revanche, des saules pleureurs, cèdres de l’atlas bleu, etc. sont des arbres trafiquées qui ne se retrouvent jamais d’eux-même dans la nature, ils sont toujours plantés. Ces arbres artificiels nécessitent beaucoup plus d’entretien.


Stratégie de l’élagage
L’arbre est un être vivant, pas une planche de bois. La taille doit respecter la biologie de chaque arbre. Et il ne faut pas faire subir à un arbre une coupe qu’il ne pourrait pas supporter.
L’arbre est un système fermé
L’écorce de l’arbre recouvre l’arbre et sert de barrière au monde extérieur : elle le protège des attaques de parasites et des maladies. Chaque plaie faite à est une porte d’entrée à des infections par des microbes, infestations par des insectes et pourritures par des champignons.
L’arbre est donc un système fermé qui est ouvert à chaque fois qu’on le coupe. Donc il est très important d’effectuer des coupes de section la plus petite possible afin de limiter au maximum le diamètre des plaies et limiter au maximum l’ouverture du système au monde extérieur.
Une coupe adaptée au stade de développement de l’arbre
Lors d’une opération d’élagage, il faut absolument tenir compte du stade de développement de l’arbre. Plus un arbre est âgé, moins il ne pourra supporter des interventions traumatisantes qui pourraient lui être fatales.
Photosynthèse
Il y à deux parties à un arbre : la partie aérienne et la partie sous-terraine. L’arbre utilise la photosynthèse dans ses feuilles pour nourrir ses racines. Il faut toujours garder un bon équilibre entre la masse sous-terraine et la masse aérienne de l’arbre. En effet, si on réduit trop un arbre, on risque de faire mourir ses racines.